l'accident vasculaire cérébral
l'accident-vasculaire-cérébral
60% des
malades peuvent rentrer à leur domicile après un AVC, 20% des malades
nécessitent un séjour en hôpital de rééducation. Enfin 10% des malades
bénéficient d'une prise en charge dans une unité spécialisée.
L'accident vasculaire cérébral (AVC),
rappelons-le, frapperait des malades nécessitent une hospitalisation en
service dit de « moyen séjour » ou « gériatrique ».
Seulement
18% 130 000
personnes en France, soit par le biais d'une thrombose artérielle (80 % des cas),
soit par celui d'une hémorragie due à la rupture d'un vaisseau (20 % des cas). (37 000 morts par an)
ou diverses formes de déficiences ou de handicaps (hémiplégie, aphasie, troubles
sensitifs, faiblesse musculaire...)
C'est la
première cause de handicap acquise chez l'adulte. La vie quotidienne
après un accident vasculaire cérébral nécessite un réapprentissage.
Parfois des séquelles subsistent, les aides existent et la patience est
de rigueur. Le soutien de l’entourage est fondamental, c’est un rôle
parfois écrasant et difficile, car les proches subissent la maladie de
plein fouet. Une personne, souvent le conjoint, assume la
responsabilité de soignant au quotidien. C’est le personnage pivot du
rétablissement du malade. Exprimez votre contentement devant le moindre
progrès réalisé.
Insufflez-lui du courage.Il arrive que la personne victime d'un avc passe du rire aux pleurs sans raison apparente. Ou bien le patient exprime ainsi des émotions réelles de façon excessive, ou bien ces manifestations n'ont aucun rapport avcec ses sentiments. Cette situation, appelée " labidité émotionnelle ", souvent impressionnante, est hors du contrôle du patient et s'améliore avec le temps. Il ne faut donc pas lui accorder trop d'importance. Au fil du temps, conduire,travailler,voyager,faire du sport... sont d'autant d'activités à encourager.